Salon Omyagué 2017 : nos coups de coeur
L’équipe Achats de Muse s’est rendue au salon Omyagué qui...
Depuis 2023, Muse collabore avec Les Biens en Commun, un projet ambitieux qui prône les avantages de la propriété, d’un service et du partage.
Entreprise aux statuts de l’Economie Sociale et Solidaire, Les Biens en Commun a pour ambition de changer la façon d’utiliser nos équipements du quotidien. L’objectif ? Contribuer à rendre nos sociétés plus durables tout en améliorant la vie de chacun.
Les Biens en Commun propose un service de location en ultra-proximité via des casiers connectés et une application. Simple, pratique et économique, vous pouvez ainsi louer pour quelques heures ou quelques jours un large panel de produits tels que des aspirateurs, des appareils à raclette, des perceuses, des fers à repasser, des vidéoprojecteurs… Le service est proposé en immobilier résidentiel ou de bureaux mais également dans des commerces de proximité. Les Biens en Commun assurent l’entretien des équipements pour une qualité optimale du service, et adaptent l’offre selon les données d’utilisation et la période de l’année.
Le concept répond à une volonté d’intérêt général :
Marion Pontille, acheteuse au sein de Muse, a rencontré Thomas Koell, Directeur Général de l’entreprise.
Thomas Koell : Si on partage des vélos, des voitures, des appartements, pourquoi ne partagerions-nous pas des équipements du quotidien ? C’est l’idée initiale qui a germée chez Yann pour lancer le concept Les Biens en Commun.
De là naît un premier prototype dans une résidence étudiante lyonnaise avec des casiers connectés qui permettent de louer des équipements du quotidien pour quelques heures. C’est à ce moment que je me suis associé avec Yann pour développer Les Biens en Commun à grande échelle.
Aujourd’hui c’est près de 20 sites équipés du service en France, un chiffre qui devrait tripler cette année 2024, plusieurs milliers de locations d’équipements et des utilisateurs très satisfaits du service.
TK : Conscients qu’il y a urgence à agir pour sortir d’un modèle de surconsommation qui n’est pas durable et met en danger les équilibres de notre planète, nous souhaitons apporter une alternative à l’achat des équipements quotidiens, qui soit à la fois désirable pour les utilisateurs et déployable à grande échelle pour maximiser l’impact du projet.
Une approche à la fois idéaliste et très pragmatique pour encourage l’évolution de nos comportements de consommation.
TK : Le Groupe SEB est un partenaire de la première heure du projet Les Biens en Commun. En grandissant nous avons eu besoin de mieux structurer nos approvisionnements de produits des marques du groupe. Muse étant un partenaire de confiance du Groupe SEB, c’est ainsi que nous sommes entrés en relation pour optimiser notre sourcing et notre logistique sur les produits du groupe.
Identifier les bons produits, suivre les délais, faciliter la gestion de nos stocks, simplifier notre process de facturation sont autant d’atouts qu’apportent aujourd’hui les équipes de Muse.
TK : Nous sommes convaincus que partager ses équipements du quotidien sera devenu un réflexe pour les générations futures. C’est un comportement plus économique, plus pratique et plus durable : du bon sens en quelque sorte !
Pourquoi acheter, stocker et entretenir des équipements que l’on utilise occasionnellement si on peut les louer simplement pour quelques euros avec un service de qualité dans nos lieux de vie ?
TK : Nous avons aujourd’hui une offre de service adaptée à l’immobilier résidentiel, l’immobilier de bureaux et les commerces de proximité pour s’inscrire dans le quotidien de nos utilisateurs.
Notre enjeu principal pour 2024 est de trouver des acteurs de l’immobilier, des entreprises ou des collectivités visionnaires et engagés qui ont l’envie et la capacité de déployer à grande échelle le service Les Biens en Commun dans leur parc immobilier existant et à venir !
TK : En immobilier résidentiel, l’aspirateur est très loué. Les équipements de convivialité également (raclette, fondue, plancha …). Plus généralement, la perceuse visseuse rencontre aussi un franc succès. Quand on sait qu’aujourd’hui une perceuse produite ne sera utilisée que 12 min en moyenne dans toute sa vie, on comprend mieux pourquoi louer est plus pertinent qu’acheter !
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